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le blog intime et aventureux d’une jeune auteure – saison 4 accueil écrits :le premier roman qui suis je one way / two times ou trouver les romans ? navigation avertissement 10 janvier, 2007 posté par fdesbordes dans : non classé , 17 commentaires tous les personnages de ce blog sont fictifs. toute ressemblance avec des personnes existantes ne pourrait etre que fortuite. pour me contacter : fredesbordes@hotmail.fr -- de la créativité, un style et en voiture simone ! 4 septembre, 2012 posté par fdesbordes dans : decouverte , 1 commentaire pour pré lancer son site internet (un webzine et un futur shop), le site internet kolibrius a décidé de faire sa pub. l’absence d’argent débride la créativité, c’est le moins que l’on puisse dire. son créateur a donc décidé de mettre en scène, une femelle gorille dans toutes les situations possibles et si possible cocasses. cela donne ça et c’est plutôt réjouissant ! -- j’aime. toujours sur le même t’aime. 30 juin, 2011 posté par fdesbordes dans : ecrits (quand j'ai de l'inspiration) , 13 commentaires normal 0 21 false false false fr x-none x-none microsoftinternetexplorer4 -- -- /* style definitions */ table.msonormaltable {mso-style-name: »tableau normal »; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-qformat:yes; mso-style-parent: »"; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin-top:0cm; mso-para-margin-right:0cm; mso-para-margin-bottom:10.0pt; mso-para-margin-left:0cm; line-height:115%; mso-pagination:widow-orphan; font-size:11.0pt; font-family: »calibri », »sans-serif »; mso-ascii-font-family:calibri; mso-ascii-theme-font:minor-latin; mso-hansi-font-family:calibri; mso-hansi-theme-font:minor-latin;} -- j’aime, j’aime, j’aime, j’aime, j’aime, j’aime, j’aime. trop. et alors quand bien même. et si je t’aime peut-on dire trop quand on aime ? mes pas au rythme des siens, de loin en loin. et si la fille de l’air n’existait pas ? et si la fille de l’air était une fille de la terre ? il faudrait bien alors que je me résolve à lui emboiter le pas. rembobiner, retour arrière. je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime. des jeux sur le même thème, des châteaux de cartes et des châteaux en espagne, je peux t’en faire par milliers. cela suffira-t’il à ce que tu m’emboîtes le pas, passage non imaginé mais somme toute familier ? -- dimanche bleu 30 mai, 2011 posté par fdesbordes dans : ecrits (quand j'ai de l'inspiration) , 3 commentaires c’est un dimanche bleu qui s’étire, pas tout à fait réveillé. parfois les dimanches sont rouges, gris clairs ou gris foncés, rarement verts, quoique… bleu c’est une belle couleur pour un dimanche. elle n’est pas là. non, définitivement elle n’est pas là même si ce n’est pas l’envie qui lui manque. c’est pourtant elle qui a teinté de bleu ce dimanche en la laissant courir sur sa peau au son du piano, ou bien était-ce de l’électro, elle ne sait plus. et leurs mots qui ricochent, qui glissent et qui s’évaporent pour tout peindre en bleu. parce-que dans ce bleu on y met tout le temps qu’on veut, par petites touches. « freedom is a road ». elle n’est pas là et pourtant, c’est bien elle là, toute entière. nichée dans chacun de ces silences, dans ces bouts de phrases qui font mouche, dans son regard suspendu aux couleurs de l’horizon d’un bleu si vaste qu’elles pourraient toucher le même bleu du ciel. elle se dit qu’au fond, quelque part où qu’elle soit, elles ont peut-être vu la même chose. du bleu. -- deux mains 28 mai, 2011 posté par fdesbordes dans : ecrits (quand j'ai de l'inspiration) , 3 commentaires tu espères sans doute que demain recèle encore des trésors d’incertitudes, qu’après la vague d’impossibilités, un tsunami des possibles pourrait déferler sur tes territoires inconquis. peut-être t’imagines-tu, rêvant les yeux au plafond, toute à ton futur, que demain est un jour plein de promesses. et puis il y a ces deux mains que tu remets au lendemain. deux mains fines aux cicatrices ardentes qui creusent le sillon dans ton dos fatigué. deux mains qui s’agrippent pendant l’amour et qui te dessinent des arabesques au réveil. deux mains qui sont à demain ce qu’aujourd’hui est à ton présent. un déluge de doute et d’envie, de crainte et de plaisir. peut-être t’imagines-tu avoir fait le tour de la question. qu’est-ce que demain finalement ? un autre jour qui a le goût de ce jour, deux mains qui ont révélé ce qu’elles avaient à révéler. ou pas. de ces deux mains tu sais si peu finalement qu’il faut laisser à demain le temps de faire son oeuvre. alors tu fermes les yeux et tu t’endors parce que demain est résolument un autre jour. -- prière de m’excuser pour cette légère absence… 11 mai, 2011 posté par fdesbordes dans : chronique de ma vie bordelaise , 4 commentaires aux lecteurs, lectrices de ce blog, toutes mes sincères excuses pour ce mois d’absence. j’ai pris le vert et surtout pris le temps de préparer cette exposition sur bordeaux mi photos/mi textes, devenue un recueil aussi. quelques vacances loin du web pour vaquer à des occupations un brin plus ancrées dans la vie réelle. les projets courent, les projets filent et le troisième roman tant attendu est enfin bouclé ! il s’intitulera donc »la fille de l’air », sortira au deuxième semestre et l’exposition « fragments » en est une mise en abyme. 18 photos pour 18 textes qui narrent un drôle d’histoire, de celle que nous pouvons tous vivre un jour ou l’autre, une histoire en image et en instant de gens qui se cherchent, se lient, se délient et se manquent. une histoire où les moments éphémères sont gravés dans la pellicule pour se souvenir que tout cela vaut la peine d’être vécu. voici donc « fragments » et le livre vous pouvez l’acheter ici : fragments sur blurb « fragments » repose sur l’instant, suspendu au fil ténu de l’objectif, pris sur le vif pour mieux le laisser se dévoiler. « fragments » est une invitation au voyage, à la découverte de cet autre monde où l’instant nous happe. un instant où tout peut arriver, un instant et tout peut basculer. alors les photos témoignent, s’appropriant leur propre image pour engloutir le monde réel ; se juxtaposant ainsi au temps pour en redessin … er un autre indéfinissable. et les mots clament en écho ce que l’image seule ne peut révéler : une histoire. une histoire où les sentiments, les émotions et la pensée s’entrelacent pour décrire ce que nous ne pouvons définir : la pensée dans l’instant, ce langage de l’essentiel où la musique, les images et les mots viennent combler tous ces blancs, blancs comme neige, des non-dits qui n’en n’ont que l’apparence… -- « les petits mouchoirs », moué ben j’en ai pas utilisé 5 avril, 2011 posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 4 commentaires cher guillaume, tu te rappelles y’a 10 ans, quand on avait échoué avec fred g dans un salon à clermont ferrand ? non tu ne te rappelles pas j’imagine. entre temps, tu es devenu plutôt « bankable » et tu t’es mis à faire des « films fédérateurs ». ma voisine m’a prêté ton dernier opus que j’ai regardé hier soir et comment te dire… ils éclusent vachement tes trentenaires en vacances ! dis-moi, la région a du t’accorder beaucoup de faveurs pour que tu en fasses une carte postale aussi mignonne. plan d’ensemble sur le banc d’arguin, plan sur la dune du pyla, plan sur le bassin et ses cabanes tchanquées, plan sur les huitres, plan sur les petites routes caillouteuses du cap ferret, plan sur les longues plages qui s’étirent à l’infini… whouahhh ! c’est un vrai film institutionnel pour la région aquitaine dis-moi ! bon et sinon, j’imagine qu’au regard de tes précédents films, tu as voulu filmer une satyre sociale féroce des trentenaires, non ? parce-que franchement, laisser tout seul son pote à paris en soins intensifs pour partir s’éclater faire du bateau et vivre en short au bord de l’eau en plein été, c’est plutôt cruel et individualiste, tu ne crois pas ? 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